Message à quelques connaissances
A tous ceux qui ont été invités à visiter ce blog, sachez que vous êtes mes amis les plus chers. Sans vous, je ne serais pas où je suis aujourd'hui, ni même celui que je suis. Néanmoins vous devriez connaître les raisons qui me pousse à écrire ce message. Tout d'abord, ma récente et soudaine prise de conscience et mon gain de maturité qui me pousse au changement. Trop de médiocrité, engendré par la bêtise, l'environnement peu propice à l'exercice du rationnel et à toutes les limites à la logique imposées par certains facteurs, qui disons-le clairement, ne vont pas trop me manquer là où je m'en vais faire mes études, m'ont conduit à cela. J'ai aussi eu l'idée de ne pas rater cette occasion pour vous remercier du soutien dont vous m'avez fait bénéficier cette année pour quelques uns d'entre vous, et depuis plusieurs années pour les autres, et ainsi de vous rendre un à un, l'hommage qui vous est du, en bonne et due forme.
Un hommage en premier lieu à toi, rouquin dégenté, qui m'a appris la confiance en soi, l'acceptation de son corps et la fierté de l'homme musulman par rapport à ses racines.
En second lieu, je pense que je ne pouvais pas ne pas citer le Justin Bieber de la bande, qui m'a appris qu'être un homme ne se résumait pas à sortir avec toutes les filles du monde et exhiber certaines parties de son corps à la vue de tous, mais au courage de montrer sa virilité aux moments où on en a le plus besoin.
Pour ce qui est de la partie culturelle, je voudrais remercier notre gauchiste préféré, qui m'a appris la maturité, sans la connaître. Merci à toi, le p(f)irate socialiste, pour tout ces débats, toutes ces joutes culturelles qui ont fait grandir mon esprit critique et développer un certain humour douteux.
Merci à toi, ainsi qu'à mon conducteur préféré, véritable tour défensive au cours de nos matchs de foot, pour toutes ces parties de tennis, et il faudrait que l'on en refasse d'autres, le plus rapidement possible.
Je ne t'oublierais pas, le meilleur Nahdhaouiste que je connaisse, qui a été mon compagnon de révision, et sans qui je n'aurais pas eu le courage et la force de résister à tant de travail.
Vient ensuite le tour de cette charmante connaissance, qui porte un nom qui lui va comme un gant. Dois-je rappeler que Linda veux dire mignone en espagnol ? Pas à celui qui te voit en tout cas. Tu as gagné mon amitié en quelques jours, mais pour toujours, même si tu désires plus, et j'en ai conscience, mais je dois t'avouer que mon coeur est déjà pris, tellement pris, qu'il ne m'appartient même plus.
Je m'étais juré, étant petit, de ne jamais laisser une personne avoir du pouvoir sur moi, mais toi, celle que je ne peux oublier, quoique j'ais tenté, à réussi à tout me prendre. Il semblerait tellement inutile de ne pas évoquer ton nom ici, ce que je ne ferais point par pudeur, mais tous ceux qui y ont accès, ou presque n'ont surement pas manqué de remarquer mon attitude qui changeait lorsque tu venais me voir, le sourire béat qui se dessinait sur mon visage chaque fois que nos yeux se croisaient, où plus simplement, les battements de mon coeur, qu'on entends à plus de 3 mètres à la ronde, chaque fois que tu es dans les parages. Mais plus que ça, tu es surement la personne qui me connait le mieux, ma psy, comme j'aime à t'appeler, celle à qui je me suis confié entièrement, qui connait toutes mes forces, mais plus encore mes faiblesses. Pour ne pas trop s'attarder, je ne dirais qu'une chose, que je n'ai jamais dite à personne, mais qui pour moi résume tout ce que tu représentes pour moi, et sache qu'en plus d'être la stricte vérité, c'est aussi le fond de ma pensée, et pas seulement des mots : Si je devais choisir entre toi et le monde, je te choisirais, car sans toi, il n'y aurait plus de monde pour moi.
Merci encore à tous, et sachez que quoique je fasses, quoique je deviennes vous resterez parties intégrantes de ma vie.
